Dela pratique personnelle de l'élève à la référence artistique. Cycle 3. 6e. Une séquence proposée par Vanessa MUNOZ, professeure d'arts plastiques au collège-lycée BARRAL,
- Inscription toute l'année - nos activités à toulouse Réservez un anniversaire unique ! Vous voulez faire plaisir à votre enfant ? Vous voulez lui organiser un anniversaire dont il se souviendra ? La PETITE ACADÉMIE s’occupe de une formule tout compris, nous proposons à votre enfant et ses invités une activité artistique et une boum de est totalement privatisé pour l’ que vous puissiez garder des souvenirs, nous vous proposons un reportage photos pour immortaliser ces beaux moments. Dans la PETITE ACADÉMIE d’Aurore, on a pour but d’insuffler aux élèves, petits et grands, les astuces pour développer, trouver ou retrouver l’artiste qui sommeille en chacun d’ d’Histoire de l’Art, Aurore a travaillé quelques années dans un tout autre secteur et elle s’est lancée de nouveau dans ses premiers amours, les arts, grâce au concept de la PETITE ACADÉMIE. Il est donc important pour elle, d’accompagner chacun dans ce processus de découverte et d’apprentissage projet, c’est son bébé et c’est ce qui fait qu’elle s’épanouit au quotidien. Devenir une entrepreneure l’a aidé à se connaître mieux et à se faire davantage plus belle récompense ? Un échange récent avec une élève de son cours d’adultes, qui lui a indiqué que le travail réalisé à ses côtés à LA PETITE ACADÉMIE, lui avait permis de se trouver et de se lancer dans une autre activité professionnelle. Par le biais de la création artistique, on cherche, on creuse, puis l’on se trouve soi ! Un moment inoubliable pour votre enfant nos tarifs Cotisation Annuelle 39€ 4/6 ans Dessin / Peinture / Sculpture 420€ /année 7/13 ans Dessin / Peinture / Sculpture 510€ /année Ados / Prépa aux Ecoles d'Art Dessin / Peinture / Sculpture 540€ /année Adultes Dessin / Peinture / Sculpture 250€ l'année / Carte de 10 séances Anniversaire à partir de 220€ Le lieu Située au cœur du site historique des CarmesLa responsable Vous serez accueillis par Aurore MULONSes qualités Optimiste, joyeuse, charmante et tellement encourageante Infos pratiques Contact Envoyez un mail05 67 11 08 77 ou06 22 66 28 0330 rue des Couteliers Horaires d’ouverture Mardi 10h/12h30 – 14h/18hMercredi 10h/12h30 – 14h/18hJeudi 10h/12h30 – 14h/18hVendredi 10h/12h30 – 14h/18hSamedi 10h/12h30 Vacances scolaires Du lundi au vendredi 09h – 18h Accès et transports Métro A arrêt Esquirol » – Metro B arrêt Carmes »Bus 10, 12, 14 et 38Parking Esquirol & Carmes Le musée de nos artistes
LesChampionnats d'Europe Juniors se déroulaient du 5 au 10 juillet à Bucarest (Roumanie). Notre nageur Jaz Dutillieux a vécu sa première sélection internationale au sein de l'équipe de France, un événement unique dans l'histoire récente de notre section natation ! Jaz, pensionnaire à l'Insep, était donc aligné sur le relais 4x200m NL. Pour cette grande première,
La licence d’histoire de l’art à distance est un moyen privilégié pour l’homme de comprendre les sociétés humaines, de la préhistoire à nos jours, des mondes anciens à l’art actuel, des mondes médiévaux aux mondes modernes. La peinture et la sculpture, mais aussi l’architecture, l’urbanisme et les jardins, la photographie, le dessin, la gravure et les arts du livre, les arts décoratifs et les outils de la vie quotidienne ne sont que quelques-uns des nombreux thèmes abordés. L’art occidental et les liens avec les autres arts sont examinés en parallèle. L’histoire, la littérature classique et moderne, l’esthétique et l’anthropologie ne sont que quelques-unes des nombreuses disciplines liées à des passerelles avec des sujets connexes. Vous souhaitez obtenir une licence d’histoire de l’art par le biais de l’enseignement à distance dans les universités françaises de premier cycle ? De nombreuses universités sont présentes à Paris, Lyon, Lille, Tours, etc. Voici quelques-unes d’entre elles. 1. Paris Nanterre La licence d’histoire de l’art et d’archéologie de l’université de Paris Nanterre s’effectue en trois ans 30 crédits par semestre. Les étudiants de l’université se spécialisent dans des sujets spécifiques au fil du temps, ce qui exige un degré de spécificité plus élevé dans leurs cours. En histoire de l’art, par exemple, les étudiants apprennent l’archéologie des périodes historiques Antiquité et Moyen Âge ainsi que l’histoire de l’art dans les quatre grandes périodes Antiquité, Moyen Âge, modernisme et présent. À partir de 2020, les deux premières années de la licence seront constituées d’un cours unique d’histoire de l’art et d’archéologie, que tous les étudiants suivront. Il les initiera à l’archéologie des périodes historiques ainsi qu’à l’histoire de l’art dans les quatre grandes périodes l’Antiquité, le Moyen Âge, le modernisme et le présent. Les études en histoire de l’art et en archéologie sont intégrées dans le domaine des sciences humaines en première année. En deuxième année, vous pouvez choisir des cours d’anthropologie ou d’histoire qui complètent votre spécialisation. Si vous obtenez un poste de stagiaire en troisième année de licence semestres 5 et 6, vous pourrez ajouter un stage à votre enseignement théorique. En plus, un directeur des études va vous encadrer et vous guider au début de la licence L1. Il vous conseillera pour réussir vos études et établir votre projet. Il est possible de choisir huit parcours Un parcours Archéologie;Un parcours Histoire de l’art cette formation est également disponible en enseignement à distance;Et un parcours Préparation aux concours de restaurateur du patrimoine. La licence histoire de l’art offre aux étudiants un cadre pour aborder diverses professions en leur donnant un solide bagage en histoire de l’art et, conjointement, en leur offrant une ouverture vers au moins une autre discipline. Les étudiants inscrits dans la licence Histoire de l’art et archéologie peuvent choisir leur spécialisation dès le début de leurs études et deux parcours distincts existent Histoire de l’art;Sciences archéologiques. Ce cursus vise l’obtention d’une démarche de travail être capable de mener une recherche documentaire autonome, savoir réaliser une synthèse et une évaluation d’un objet d’investigation œuvre ou discours, maîtriser l’expression écrite et orale. On parle d’art des sociétés humaines en étudiant les traces matérielles de l’histoire. De surcroît, les périodes de l’histoire sont étudiées dans l’ordre antique, médiévale, moderne et contemporaine. Donc, le but est d’analyser une grande variété d’œuvres dans tous les domaines de compétence, pour s’interroger sur leur nature — notamment par l’étude et la datation des matériaux —, leurs fonctions, leurs significations, au cours de périodes historiques particulières et dans le temps. Note importante Seulement quelques unités d’enseignement UE sont disponible en formation à distance. Contenu de la formation Les étudiants qui obtiennent une licence d’études à l’université disposent de 180 crédits. Ils sont transférés à partir du système européen de transfert de crédits ECTS. Le cursus de 3 ans se divise en deux semestres septembre à décembre et janvier à avril. En plus, il comprend plusieurs unités d’enseignement UE. 3. Licence histoire de l’art à distance Lille 3 Cette licence est disponible entièrement à distance. Les étudiants reçoivent une vue d’ensemble du développement de l’art et de l’archéologie de la préhistoire à nos jours dans un cours couvrant les grands maîtres de la peinture, de la sculpture, des arts décoratifs et de l’architecture. Les étudiants peuvent également choisir l’un des deux cours de deuxième année le parcours d’histoire de l’art ou le parcours d’archéologie. Dans le parcours d’histoire de l’art, vous étudierez les plus grandes œuvres artistiques et apprendrez à les examiner d’un point de vue formel et symbolique, à les comprendre et à les placer dans un contexte historique et social. Vous apprendrez également à connaître les cultures matérielles et les civilisations anciennes en archéologie. En outre, vous acquerrez les compétences techniques nécessaires au travail de terrain dans le cadre de cours théoriques et de stages de fouilles. 4. Licence à distance histoire de l’art à l’Université Jean Jaurès de Toulouse Le programme de cette licence à distance 6 semestres a deux objectifs. D’une part, elle vise à fournir aux étudiants des connaissances historiques de base dans les quatre périodes. Et d’autre part, à leur permettre de commencer à se spécialiser. Le premier objectif est atteint en veillant à ce que les étudiants suivent des cours d’histoire tout au long du programme de trois ans. Ils peuvent alors se concentrer sur une période spécifique dès la L2 mais surtout en L3, ce qui leur donne une flexibilité supplémentaire dans le choix des cours. De nombreux étudiants choisissent la licence d’histoire pour passer certains concours administratifs et d’écoles de journalisme. Donc, un certain nombre de cours sont spécialement conçus pour eux. Par exemple, des cours de droit public adaptés aux concours administratifs. Les atouts de cette licence Une formation historique reposant sur un corps professoral expert et doté des avancées les plus récentes en matière de recherche. Les étudiants peuvent bénéficier des dernières avancées de la recherche historique. Un corps professoral reconnu pour son excellence et sa compétence scientifiques soutien les élèves. À partir du deuxième niveau, les cours collectifs remplacent les cours magistraux dans lesquels le même instructeur enseigne. Le tutorat, qui permet aux étudiants de suivre leurs travaux universitaires, est disponible à tous les niveaux. Les étudiants peuvent construire leur parcours sur trois ans en fonction de leurs objectifs individuels et professionnels. L’étendue des cours proposés à partir de la L2 permet aux étudiants de choisir les cours qui correspondent à leurs objectifs. Les étudiants peuvent également étudier l’histoire dans le monde réel. Des partenaires locaux muséums, archives départementales, archives municipales, etc. sont sur le terrain pour aider les étudiants à découvrir des sources.
Visiteset circuits. Pour votre séjour à Toulouse, les choix de visites sont variés. Suivez une visite guidée ou un circuit touristique avec un guide. Profitez du train touristique pour un tour de ville ou si vous préférez, embarquez à bord des bateau-croisières sur la Garonne et le canal du Midi. À pied, en vélo, en minibus
Vous cherchez un Cours d'Histoire de l'art à Toulouse ? On s'occupe de tout ! Diplômée d'un master recherche d'histoire de l'art moderne et contemporain, je propose des cours particuliers d'histoire de l'art pour tous les âges. Mon parcours me permet de vous proposer des cours allant de l'antiquité à la période contemporaine. J'ai souvent tutoré des élèves de lycée et des étudiants de licence en vue de leurs examens. Ainsi, que ce soit pour une mise à niveau,... 20€/h Diplôme vérifié Profil certifié Diplôme vérifié Profil certifié 20€/h Cours particuliers conçus dans le cadre d'une pédagogie active pensée en terme d'échanges constructifs pour le suivi et la réalisation de thèse, le passage d'examens ou l'étude plus ciblées de périodes dans l'histoire de l'art . Dynamique de coaching pratique & théorique. Art Plastiques de niveau B+5, formation de sculpteur, peintre , lithographe / designer espace & produit Admissibilité... Soumia Toulouse 31000 - Auzeville-Tolosane 31320 - Beauzelle 31700 - Blagnac 31700 - Pechbusque 31320 - Saint-Orens-de-Gameville 31650 Passionnée et experte en arts, je propose un cours privé d'histoire de l'art adapté et complet depuis la Préhistoire à nos jours. La possibilité d'agrémenter le cours par une visite de musée ou de galeries d'art est ouverte. Le partage des connaissances est le leitmotiv de ce cours avec pour ligne de conduite l'amour de l'art et du beau. Doctorat d'histoire de l'art - spécialité... Je vous propose de vous aider à découvrir les divers mouvements et les artistes de toutes les compétences me permettent de couvrir une étude panoramique ou approfondie dans tous les domaines des arts plastiques allant de la Préhistoire à nos jours .Je suis également qualifiée en Arts Appliqués design de com, design d'objet ,design d'espace.Je vous propose également... Je suis étudiant en 1° année d'art applique à la faculté de Toulouse le suivi un cursus d'art "Lourd", plus de 8 heures par semaine, au Lycée, cursus que j'ai obtenu avec mon BacJ'ai donc une expérience de près de 3 ans en histoire de l'art, avec une spécialisation sur l'art de la fin 18° début 19° en peinture et sur l'art moderne et connaissances en art... Depuis le lycée, où j'ai obtenu un Bac STI en Arts Appliqués, je poursuis mes études dans le domaine des obtenu un Deug en Arts Plastiques et une Licence en Arts la suite de ces diplômes j'ai suivis une préparation au Concours d'Admissibilité au Profassorat en Lycées Professionels dans le domaines des Arts Appliqués à l' les 3 dernières années j'ai... Titulaire d'un Baccalauréat Général Série Scientifique Spécialité Mathématiques Option Latin et également diplômé d'un DEUG et d'une Licence en Histoire avec pour options Histoire de l'art, Latin, Histoire et littérature Médievale Orientale... J'ai suivi deux ans de formation à l'encadrement d'enfants et d'adolescents équivalent au chez les Eclaireurs et Eclaireuses de... Des professeurs d'Histoire de l'art sont disponibles par webcam Servane - 4 avis- 4 avis 4h de cours Paris 14e Arrondissement 75014 Passionnée des arts en général, peinture, dessin, musique, photographie j'ai un double deug histoire/histoire de l'art et une licence d'hitoire de l'art. Je suis avant tout une personne curieuse, fille d'enseignants qui aime la pédagogie ainsi que l'échange. J'ai également pratiquer 2 ans le dessin en études supérieures, j'aime aborder l'art à travers différents angles l'histoire,... Manuela 1h de cours Montgeron 91230 - Sainte-Geneviève-des-Bois 91700 - Saint-Germain-lès-Corbeil 91250 - Saint-Pierre-du-Perray 91280 - Saintry-sur-Seine 91250 - Soisy-sur-Seine 91450 - Tigery 91250 - Vert-le-Grand 91810 - Villabé 91100 - Viry-Châtillon 91170 Bilingue italien/français, j'ai une expérience de 15 ans dans le secteur culturel/muséal. Mes cours s'adaptent à tous les niveaux, mon expérience de médiation me permettant de moduler le cours et les objectifs en fonction des besoins et des intérêts de l'élève. Dans une salle ou en ballade, mes cours sont créatifs et imaginatifs, et la découverte ou l'apprentissage de cette belle... Questions fréquentes pour l' Histoire de l'art à Toulouse Combien de profs sont disponibles pour donner des cours d'Histoire de l'art à Toulouse ? 7 profs d'Histoire de l'art donnent des cours à Toulouse. Nous vous invitons à rechercher le profil qui vous conviendra le mieux pour apprendre l' Histoire de l'art. Quel est le tarif d'un cours d'Histoire de l'art à Toulouse ? Une heure de cours particulier d'Histoire de l'art à Toulouse coûte en moyenne 25€. Le prix minimum d'un cours d'Histoire de l'art à Toulouse est de 16€ tandis que le maximum est de 50€. Villes alentours
Emploi: Cours soir à Toulouse • Recherche parmi 710.000+ offres d'emploi en cours • Rapide & Gratuit • Temps plein, temporaire et à temps partiel • Meilleurs employeurs à Toulouse • Emploi: Cours soir - facile à trouver !
par Enrico Chapel Professeur HDR, ENSA Toulouse, LRA L’enseignement de l’architecture à Toulouse débute dans les années 1740, lorsque cet art fait l’objet de cours, au même titre que la peinture et la sculpture, à l’école de dessin gratuite qui, ouverte par le peintre attitré de l’hôtel de ville Antoine Rivalz 1667-1735 en 1726, avait bénéficié dès l’année suivante du soutien financier durable des Capitouls magistrats de la ville. C’est l’élève et successeur de Rivalz, le peintre et architecte Guillaume Cammas 1698-1777, auteur de la façade de l’hôtel de ville, qui la transforme en 1746 en Société des beaux-arts. Quelques années plus tard, celle-ci est érigée en Académie royale de peinture, sculpture et architecture par lettres patentes du 25 décembre 1750. L’école est alors installée dans la rue du Poids-de-l’Huile, jusqu’à son transfert, en 1769, dans une autre dépendance du Capitole, rue Lafayette, de l’autre côté de l’hôtel de ville. D’éminentes personnalités y enseignent, dont Louis de Mondran 1699-1792, auteur du plan des allées de l’Esplanade et du Grand Rond, et Jacques-Pascal Virebent 1746-1831 architecte de la Ville qui a dessiné la place du Capitole et la place Villeneuve aujourd’hui place Wilson. En 1782, une école du génie est créée au sein de l’académie toulousaine. De nouveaux cours de mathématiques, d’architecture civile, de ponts et chaussées, de cartographie y sont introduits. Après la tourmente révolutionnaire, l’enseignement des arts et de l’architecture se poursuit dans les locaux de l’École centrale de la Haute-Garonne, située dans l’ancien collège des jésuites hôtel Bernuy. En 1804 est créée l’École spéciale des arts de Toulouse, qui, deux ans après, rejoint dans l’ancien couvent des Augustins le musée du Midi de la France, établi là en 1793. C’est en 1833 que l’école s’associe avec les cours du soir de sciences industrielles délivrés dès 1826 par Urbain Vitry 1802-1863, neveu de Virebent et architecte en chef de la Ville, pour former l’École des beaux-arts et des sciences industrielles. En 1895, celle-ci s’installe dans l’ancien couvent de la Daurade qu’occupe toujours l’école des beaux-arts1. L’aménagement des lieux et la construction du palais des arts », doté d’une façade monumentale, sont confiés à l’architecte Pierre Esquié 1853-1933. Sous le régime de Vichy et près de quarante ans après le rapport Guadet et la publication du décret du 23 janvier 1903, le conseil municipal décide la création de l’École régionale d’architecture par délibération du 6 février 1941. Enfin, quand l’éclatement de la section d’architecture de l’ENSBA en 1968 conduit à la création des unités pédagogiques d’architecture UPA, celle de Toulouse sera installée dans le nouvel édifice construit par Georges Candilis 1913-1995 et Raymond Malebranche 1930-2016 à partir de 1969 dans le quartier du Mirail, et où l’ENSA de Toulouse siège encore aujourd’hui. Le contenu des enseignements dispensés au sein de toutes ces institutions reste encore mal connu. Marjorie Guillin a rédigé une thèse consacrée à l’Académie royale de peinture, sculpture et architecture de Toulouse au XVIIIe siècle et plusieurs études et mémoires universitaires ont été dédiés à l’école des beaux-arts2. Mais en ce qui concerne le XXe siècle et l’enseignement de l’architecture en particulier, le premier travail d’envergure a été entrepris il y a seulement quelques années par Jean-Henri Fabre, ancien étudiant et ancien enseignant de l’école d’architecture. Ce travail est encore en cours mais ses divers rapports intermédiaires et publications ont déjà permis d’exhumer une importante partie de cette histoire, à partir d’une posture engagée et militante contre l’enseignement académique3. L’auteur ayant été lui-même impliqué dans la formation d’un atelier dissident rattaché au groupe C de l’ENSBA, en 1965, puis dans la structuration de la pédagogie de l’UPA et, enfin, dans la vie parfois tumultueuse de l’institution jusqu’en 2013, date à laquelle il accède à sa retraite administrative, son travail mélange sciemment et avec un certain raffinement mémoire personnelle et analyse de sources d’archives. En témoigne notamment le texte consacré à la période charnière des années 1960, qui commence en consignant les impressions d’un jeune élève qui entre à l’École régionale d’architecture de Toulouse au mois d’octobre 1963, où il va préparer le concours d’admission à l’ENSBA, et qui n’est, en effet, autre que l’auteur de l’écrit4. Fig. 1. Photographie de la maquette de l’unité pédagogique d’architecture de Toulouse, G. Candilis, R. Malebranche arch., 1969. AD Haute-Garonne ADHG 7698 W3. Ces travaux ont ouvert de nombreuses pistes de réflexion qui restent à explorer, comme l’ont dévoilé les interventions du séminaire. Les communications de la première session ont fait l’état des recherches en cours, toutes basées sur l’analyse de sources d’archives écrites, dessinées ou imprimés. Constance Ringon maître-assistante associée à l’ENSA de Toulouse et Laurence Chevallier maître-assistante à l’ENSA de Toulouse ont exposé les premiers résultats du repérage des sources d’archives entamé par l’équipe toulousaine dans le cadre du programme HEnsA205. Parmi les lieux de conservation des sources figurent l’ENSA de Toulouse, l’IsdaT, les archives départementales de la Haute-Garonne, les archives municipales de Toulouse, le musée municipal Paul-Dupuy, mais aussi les Archives nationales et les archives du Conseil régional de l’ordre des architectes. Il faudrait probablement inclure les archives d’autres départements de la région et diverses archives privées, car elles aideront à suivre les trajectoires d’anciens élèves de l’école. La richesse potentielle de ces sources et les problèmes liés à leur exploitation ont été précisés. Ainsi, le musée Paul-Dupuy conserve-t-il des travaux d’anciens élèves pensionnaires de la Ville de Toulouse à l’ENSBA, dont l’analyse permettrait de saisir la formation que recevaient ces Toulousains dans la capitale et le rendu qu’ils en faisaient à leurs maîtres en province. Mais ces documents, en mauvais état de conservation, ne sont malheureusement pas exploitables en l’état. En revanche, les dossiers disponibles aux archives départementales de la Haute-Garonne semblent ouvrir deux pistes de recherche. La première concerne le changement de perspective dans la pédagogie, qui a eu lieu à la fin des années 1960, et le rapport entre la pédagogie envisagée à l’UPA et le bâtiment construit à la même occasion pour la mettre en œuvre fig. 1. De nombreuses sources permettent en effet de reconnaître les acteurs impliqués, sur le plan tant local que national, dans la construction de la nouvelle école et témoignent de la bonne réception du projet de Georges Candilis et Raymond Malebranche auprès du service des Enseignements de l’architecture et des arts plastiques au ministère des Affaires culturelles. La rapidité du programme d’exécution de la nouvelle école semble tout particulièrement répondre aux attentes des représentants du ministère, qui souhaitent par ce moyen apaiser les vives revendications des étudiants toulousains. La deuxième piste concerne les années 1990, période durant laquelle se mettent en place des éléments qui configurent le paysage actuel de l’enseignement de l’architecture à Toulouse, avec notamment le développement des échanges internationaux et le renforcement des rapports avec la profession dans un esprit d’ouverture de la pédagogie aux métiers. Les fonds des archives municipales couvrent le temps où l’enseignement de l’architecture à Toulouse était sous l’autorité municipale, c’est-à -dire des années 1740 à la réforme de 1968. Parmi les documents recensés, les catalogues de la bibliothèque de la classe d’architecture de l’École des beaux-arts et des sciences industrielles de la période 1900-1906 peuvent permettre de préciser l’univers de références culturelles et architecturales des professeurs et des élèves de l’école de Toulouse, que l’on pourra ensuite comparer aux études similaires dans d’autres écoles, pour raisonner sur les savoirs partagés et les particularités de chacune. Le dépouillement du Bulletin de l’Association des beaux-arts de Toulouse, paru de 1913 à 1922, apporterait un témoignage de la vie quotidienne des élèves et de leurs motivations, en particulier lors de la mobilisation du temps de la Grande Guerre, dont les retombées pédagogiques restent à analyser. Enfin, une série de documents du cabinet du maire de Toulouse entre 1972 et 1976 renseigne sur les premières années de vie de l’unité pédagogique d’architecture. L’histoire de l’enseignement du dessin à l’École des beaux-arts de Toulouse a été évoquée par Françoise Bagnéris-Merlet historienne de l’art et enseignante dans cette école de 1974 à 2012. Le dessin semble avoir structuré la formation d’un public d’élèves très large qu’il s’agisse de futurs artistes, artisans ou ouvriers d’art. Ce partage d’une méthode et d’une pratique communes du dessin par divers corps de métier semble être un caractère saillant de l’école toulousaine et l’hypothèse est faite qu’il est à l’origine d’une certaine unité que l’on peut observer dans la production artistique et architecturale locale au moins jusqu’au milieu du xxe siècle. Se nourrissant de culture classique et de connaissances scientifiques, l’enseignement du dessin a évolué au fil des ans. Des cours de nu à partir de la pratique du modèle vivant et des cours de dessin d’après l’estampe et le modèle gravé sont institués à Académie royale de peinture, sculpture et architecture au milieu du xviiie siècle, auxquels sont associés plus tard des relevés d’architecture antique et des études nécessaires pour la construction des ponts, des canaux et l’aménagement urbain et territorial école du génie. Ce double profil artistique et technique de l’enseignement du dessin est consolidé à l’École des beaux-arts et des sciences industrielles sous l’impulsion de diverses personnalités, dont Urbain Vitry et Claude Gaspard Gaillard, qui publie en 1844 un traité de dessin linéaire et ombré6. De même que les échanges entre artistes et architectes, l’enseignement du dessin sera encore renforcé en début du xxe siècle avec l’avènement des arts décoratifs et la réalisation de chantiers d’envergure, qui profitent aux artistes toulousains, comme le parc des sports 1931-1935 et la bibliothèque municipale 1932-1935, tous les deux de Jean Montariol 1892-1966. Fig. 2. Art méridional, n° 43, mars 1939. Illustration signée Jean-Louis Gilet. Bibliothèque d’étude et du patrimoine de Toulouse P3820. Dans le prolongement d’un travail de thèse en cours sur l’innovation technique dans la mise en œuvre de la brique en Midi toulousain durant l’entre-deux-guerres, engagé sous la direction d’Enrico Chapel et Françoise Blanc, Laura Girard a abordé la question du rapport entre pratiques pédagogiques et affaires professionnelles à travers la lecture de l’itinéraire d’une figure majeure de la scène toulousaine Jean-Louis Gilet 1902-1964, architecte, artiste, éditeur, professeur et premier architecte directeur de l’École régionale d’architecture. Héritier d’une dynastie d’architectes, Jean-Louis Gilet obtient son diplôme en 1932 à l’École des beaux-arts de Paris. Il démarre rapidement une carrière de constructeur en s’associant à son père, Joseph. En octobre 1937, il est nommé professeur titulaire de la classe d’architecture de l’école des beaux-arts de Toulouse. Il s’engage très tôt en faveur d’une culture méridionale » et d’une esthétique régionale ouverte au confort moderne et aux techniques nouvelles. En témoigne la revue Art méridional qu’il crée en 1935, où paraissent des articles sur les arts, l’archéologie, le patrimoine et les matériaux locaux, mais également des analyses des problèmes constructifs, juridiques ou économiques contemporains fig. 2. Par ailleurs, l’architecte milite pour la reconnaissance d’une école régionale d’architecture autonome, placée sous l’influence de maîtres d’œuvre locaux. Grâce à ses initiatives, l’école régionale de Toulouse est officieusement reconnue au deuxième semestre 1940 par l’école de Lyon, qui centralise à cette époque l’administration des écoles régionales d’architecture et de quelques ateliers parisiens refugiés en zone non occupée. Sa création est ensuite officialisée le 6 février 1941 par le conseil municipal de Toulouse et entérinée par le gouvernement de Vichy en 1942. Jean-Louis Gilet en est nommé directeur au mois de février et le restera jusqu’à sa démission forcée lors de l’épuration administrative de 1944, à la libération de Toulouse. Puis, il est réhabilité dans ses fonctions en 1952. Les perspectives de cette recherche pourront porter sur ce deuxième temps de la carrière de Jean-Louis Gilet, sur l’étude du programme pédagogique de l’école régionale d Toulouse, de son rapport avec le conseil régional de l’ordre des architectes nouvellement créé aussi et des modalités de recrutement des professeurs et des carrières enseignantes. Fig. 3. Exercice de travaux pratiques des étudiants de l’UPA de Toulouse plan d’aménagement des laboratoires de la nouvelle école 1970-1971, ADHG fonds ENSA de Toulouse versement 2013. Enfin, Jean-Henri Fabre enseignant à l’école de Toulouse de 1969 à 2013 a présenté les différentes approches de l’enseignement de la construction, de l’École régionale d’architecture à l’UPA. Dans l’atelier de Jean-Louis Gilet, on dissuadait les élèves à visiter les chantiers et le choix d’un parti de structure était souvent arrêté en raison de la performance graphique du rendu, dans la plus pure tradition beaux-arts. Un intérêt renouvelé pour l’association art et technique émerge en revanche dans l’atelier C, l’atelier dissident créé en 1965 et placé sous la direction d’architectes appartenant à une nouvelle génération, tels que Jean-Marie Lefèbvre 1933-2004, Pierre Debeaux 1925-2001, Paul Gardia 1920-1969 et Fabien Castaing 1922-2012. Lors de la création de l’UPA de Toulouse, les étudiants et les enseignants impliqués dans la construction de la nouvelle école prévoient un plateau technique » réunissant des laboratoires et des ateliers professionnels équipés de machines et d’instruments de mesure un laboratoire thermique et acoustique, un laboratoire d’essai pour le béton armé, un atelier bois et un atelier fer fig. 3. Les élèves devaient ainsi accéder à la connaissance des matériaux et de leurs performances. De nouveaux enseignants, techniciens et ingénieurs venant de l’Institut national des sciences appliquées INSA et de l’université sont effectivement recrutés pour les encadrer. Le plateau technique est progressivement abandonné, mais ces expériences donneront naissance aux premières unités de recherche de l’école. La seconde session de la matinée a réuni, autour du professeur Pierre Fernandez, trois anciens enseignants Michel Léglise ayant exercé de 1974 à 2005, Gérard Ringon de 1976 à 2009 et Gérard Tiné de 1973 à 2009 pour évoquer le rôle de la recherche et son inscription dans la pédagogie de l’école depuis les années 1970. Leurs témoignages d’acteurs amorcent une campagne d’entretiens, menée dans le cadre d’un des volets du programme HEnsA20, qui vise à recueillir les mémoires vives et à constituer des sources orales susceptibles de compléter les sources écrites7. Comme au sein d’autres établissements, l’introduction de la recherche à Toulouse fait suite aux événements de 1968 et vise à mettre en question le modèle hégémonique des beaux-arts. Des enseignements pluridisciplinaires ont été mis en place dès les premières années de l’UPA, à travers des Groupes d’enseignement et de recherche GER associant enseignants, chercheurs et étudiants autour de problématiques communes8. Depuis, de l’institution des premières unités de recherche habilitées par le Bureau de la recherche architecturale BRA en 1982 et 1984 à la création du Laboratoire de recherche en architecture LRA en 2008, des champs de réflexion et des croisements divers avec les enseignements ont été expérimentés. Des témoignages apportés lors du séminaire ont émergé plusieurs éléments permettant de caractériser d’ores et déjà la recherche à l’école de Toulouse la place faite à l’analyse de la conception architecturale et de son enseignement, les liens établis avec la profession et plus largement avec les questions de société et l’actualité, l’implication de la pédagogie dans le développement des problématiques de la recherche et, enfin, l’ouverture à l’apport des disciplines universitaires dites dures », telles que l’ingénierie, l’informatique, les sciences de l’environnement, la biologie, la physique, la climatologie. Pierre Fernandez a rappelé que la recherche s’est initialement concentrée au sein de trois laboratoires habilités au début des années 1980 Li2a Laboratoire d’informatique appliquée à l’architecture, en 1982, LAB Laboratoire d’architecture bioclimatique, en 1984 et MAP Modélisation de l’architecture et du paysage. De nouvelles équipes se sont ensuite constituées autour de thématiques sur la ville, le patrimoine, l’archéologie et les pratiques professionnelles. La vocation essentielle d’une partie des recherches et publications visait le renouvellement de la pédagogie et notamment de l’enseignement de la conception, qui reposait alors exclusivement sur des approches dogmatiques et l’analyse de références historiques. De façon réciproque, ce sont parfois des pratiques pédagogiques qui ont donné naissance à des problématiques de recherche et à la constitution d’équipes. C’est le cas du LAB qui est issu d’un atelier de projet intitulé Groupe héliothermique et habitat G2H, regroupant enseignants et étudiants autour des préoccupations solaires et bioclimatiques suscitées par le premier choc pétrolier survenu en 1973. C’est souvent autour d’une problématique transversale que des enseignants d’origines disciplinaires différentes se sont coordonnés pour proposer aux étudiants de s’engager dans des démarches de recherche et de thèses. Ainsi, de l’architecture solaire et bioclimatique à la qualité environnementale puis au développement urbain durable, le LAB – devenu en 1994 Groupe de recherche environnement et conception GRECO – a-t-il accompagné les évolutions de l’établissement, en maintenant les aller/retour entre recherche et enseignement dans une dynamique de fertilisation croisée. Fondateur avec l’architecte Mario Perez du laboratoire Li2a, dont il a assuré la direction jusqu’à sa retraite, Michel Léglise en a retracé l’aventure à la fois personnelle et collective, basée sur la conviction de la nécessité d’une recherche crédible dans les écoles d’architecture. Sa formation d’ingénieur et d’urbaniste et ses expériences de chercheur à l’université Paul-Sabatier et à l’Office national d’études et recherches aérospatiales Onera puis d’enseignant à l’École supérieure de l’aéronautique et de l’espace Sup’Aero ne sont probablement pas étrangères à cette conviction. Constitué en lien avec les sciences de l’ingénieur, Li2a visait à analyser l’implication de l’intelligence artificielle dans la conception architecturale et à proposer des principes de structuration de logiciels d’aide à la conception. Dans ce cadre, le laboratoire s’est fait une spécialité de faire profiter les étudiants en architecture des produits de ses recherches. Au fil des ans, le laboratoire s’est ouvert à d’autres domaines psychologie cognitive, représentation des connaissances, sémantique du langage, philosophie pour interroger les processus de conception au sens large. En témoigne la recherche sur les pratiques d’agence et l’informatisation naissante des architectes menée au début des années 1990 auprès de 700 agences d’architecture, afin d’analyser les effets induits par l’introduction de logiciels sur la conception, l’organisation du travail et son contrôle. En ce qui concerne les liens avec la pédagogie, à force d’observer des étudiants en train de concevoir, le laboratoire a fini par se spécialiser dans l’analyse de l’enseignement de la conception qui a ainsi émergé comme véritable objet d’études. Gérard Ringon rappelle que dans le domaine des sciences humaines et sociales, outre l’étude des usages qui a donné lieu à des nombreux écrits, débats et controverses, des interrogations se manifestent, dès les années 1970, à propos de l’insertion professionnelle des jeunes diplômés. Depuis, cette préoccupation s’est développée et instituée dans des activités pédagogiques et dans la recherche, grâce à un petit groupe d’enseignants qui s’est associé en 2001 à l’équipe de recherche Professions, architecture, ville, environnement PAVE de l’ENSAP de Bordeaux. Le contexte national était propice à ce développement. L’ouvrage de Raymonde Moulin avait ouvert la réflexion sur les transformations des pratiques professionnelles9. Les jeunes diplômés issus des UPA arrivaient nombreux sur le marché du travail, du fait de la démocratisation de l’accès aux études. La diversification professionnelle était perçue à la fois comme une solution à ce problème et comme la résultante de l’évolution de la figure de l’architecte longtemps restée confinée dans un statut, des rôles et des représentations hérités des beaux-arts. À l’école de Toulouse, des recherches furent menées pour éclairer ces transformations dans le contexte local et pour accompagner l’émergence de nouvelles pratiques, comme le conseil, la programmation, l’assistance à la maîtrise d’ouvrage, l’aménagement urbain ou le patrimoine. L’amorce d’un observatoire des processus d’insertion professionnelle devrait ouvrir sur des démarches comparatives avec d’autres écoles. Fig. 4. Sculpture en structure aluminium. Centre des conducteurs de travaux à Labège P. Gardia et M. Zavagno arch., réalisée par les étudiants de l’Atelier supérieur de sculpture de l’école des beaux-arts de Toulouse A. Blanchard, Bouglon, Durancet et G. Tiné, 1968-1969. Photographie Bouglon. Enfin, Gérard Tiné a évoqué le renouvellement de la pédagogie du projet à travers le souvenir de deux épisodes auxquels il a participé. Le premier concerne l’action commune, à la rentrée 1967, des étudiants des beaux-arts et des étudiants de l’atelier C de l’école d’architecture. Contestant l’enseignement académique, ces étudiants revendiquent la mise en place d’un atelier collégial comprenant l’ensemble des patrons des ateliers supérieurs d’art et de l’atelier C, avec pour ambition d’adapter l’enseignement aux mutations de l’esthétique et des modes de production de l’art et de l’architecture. Au sein de cet atelier, Pierre Debeaux familiarise les étudiants avec la géométrie constructive des structures géodésiques, tandis que Raymond Malebranche les documente sur le constructivisme en URSS et sur les structures auto-tendues. Cet atelier marque un moment important puisqu’il a permis aux étudiants de Toulouse d’approcher d’autres problématiques intellectuelles, perceptives et esthétiques de l’espace, ayant à faire avec la technicité des matériaux industriels, la forme conçue non plus comme facteur d’expression d’une composition esthétique mais comme structure d’éléments et de relations en vue d’un déploiement d’espaces, tout en posant l’environnement de la ville nouvelle Le Mirail n’est pas loin comme facteur contextuel déterminant de la conception architecturale fig. 4. Le second événement date de 1981, lorsque à l’occasion du déclassement des casernes Compans-Caffarelli acquises par la ville de Toulouse, l’école décide d’organiser un colloque sur Les pédagogies du projet10 ». Pour le préparer, elle adresse une invitation à l’ensemble des UPA pour recueillir des propositions de projet pour l’aménagement de la parcelle des casernes. Ces propositions sont exposées pendant le colloque qui voit la participation, entre autres, de Françoise Choay, Jean-Pierre Epron, Bernard Huet et Bruno Queysanne. Cet événement témoigne d’une évolution certaine de l’enseignement du projet à l’école de Toulouse, avec l’énonciation d’une position critique vis-à -vis des villes nouvelles, la prise en compte des formes urbaines et la découverte de l’histoire dans un contexte de réception de la postmodernité. Plusieurs questions nées de la lecture des sources d’archives et des thématiques investiguées ces derniers mois, présentées par les contributeurs du séminaire, permettent d’orienter les futurs développements du travail de l’équipe toulousaine. Parmi ceux-ci, rappelons l’inscription de la pédagogie dans le contexte local et les relations entretenues avec les milieux économiques, politiques, artistiques et professionnels. Le suivi d’itinéraires d’enseignants ayant marqué la scène toulousaine semble une piste féconde, qu’il faudra compléter en établissant un inventaire des étudiants et des enseignants ayant fréquenté l’école de Toulouse. La dépendance de l’école de Toulouse de l’ENSBA et le rôle joué par certaines familles d’architectes, comme les Lemaresquier à Toulouse, ouvrent également de perspectives de recherches intéressantes. Les documents d’archives permettent de préciser la mise en œuvre des réformes nationales à Toulouse et de comparer l’organisation, le fonctionnement et le contenu des enseignements délivrés avec d’autres écoles en France. Quant à l’École des beaux-arts et des sciences industrielles et à l’École régionale d’architecture, restent non seulement à explorer leur fonctionnement administratif et pédagogique gestion des locaux, recrutement et carrières des enseignants, sélection des étudiants, mais aussi les changements de perspective survenus dans les années 1960, qui se traduiront par la création de l’UPA et la construction de la nouvelle école au Mirail, préfigurant les rapprochements avec l’université et la mise en place d’un tissu complexe de relations internationales11. L’écriture de l’histoire de la recherche autour des questions relatives à l’architecture bioclimatique, l’intelligence artificielle et la conception, les modélisations, l’environnement, la ville, puis le développement durable, le patrimoine et les pratiques professionnelles, est en chantier. Dans ce cadre, la réactivation des mémoires sur les pratiques des GER durant les années 1970 semble particulièrement utile. Cet énoncé n’est évidemment pas exhaustif, il permet d’imaginer des perspectives d’études fructueuses. La mise en place d’un séminaire consacré aux lieux de pédagogies », destiné aux étudiants de quatrième année de l’ENSA de Toulouse, devrait permettre d’élargir, notamment dans le cadre de futurs travaux de thèse, les différents questionnements qui surgissent, créant une véritable dynamique de recherche. Notes
Unnouveau restaurant, Turbine, a ouvert ses portes mercredi 1er juin, à l’ espace EDF du Bazacle, à Toulouse. Une terrasse de 400m² en bord de Garonne, ouverte uniquement durant la saison estivale. Ce restaurant éphémère accueillera le public sept jours sur sept et de 11 heures à minuit jusqu’à la mi-septembre.
Je choisis ma FormationThéâtre Cinéma Théâtre et Caméra Acting in English Schauspiel auf Deutsch Classe Libre Théâtre Comédie musicale Classe Libre Comédie Musicale Musique Musique - Identité vocale Executive CampusParis, Bruxelles, Montpellier, Bordeaux AdmissibilitéValidation pédagogique à une audition ou un stage de théâtre, cinéma, acting in english, improvisation ou réalisation La formation Théâtre, sur 3 ou 4 ans, est dispensée dans les 4 campus du Cours Florent à Paris, Bruxelles, Montpellier et Bordeaux. Elle est accessible avec un accord d'admissibilité reçu soit à l'issue d'un stage pour les soit à l'issue d'une audition pour les candidats pouvant justifier d'un parcours pédagogique préalable. Je choisis ma newsletter
Aucuneremise ou point de fidélité n'a été proposé en échange de ces avis. Les avis sont publiés et conservés pendant une durée de cinq ans. Les avis ne peuvent pas être modifiés : si un client souhaite modifier son avis, il doit nous contacter. Pour connaître les raisons de la suppression des avis, merci de nous contacter.
Les licences Accessible avec le bac, le diplôme national de licence, 1er niveau d'études à l'université, s'obtient après six semestres d'études 3 ans. La licence se décline en une quarantaine de mentions, allant du droit, à l'informatique, en passant par les arts. Organisée en parcours types, définis par chaque université, la licence permet d'acquérir une culture générale solide, des compétences disciplinaires, transversales et linguistiques. Après la licence, il est possible de poursuivre des études en master pour 2 ans dans un parcours en cohérence avec la licence suivie, mais aussi en école de commerce, en école d'ingénieurs, ou autres formations spécialisées... Après une 2e année validée L2, accès possible en licence professionnelle pour 1 an. Lire l'article sur l’organisation des licences À savoir Au programme de la mention histoire de l'art et archéologie, l'étude des oeuvres peinture, sculpture..., des civilisations à travers une approche historique, sociologique, esthétique habitats, édifices publics.... Au cours de la licence, des parcours histoire de l'art, archéologie , patrimoine... sont proposés pour favoriser la poursuite d'études en se dirigent ensuite vers les métiers de l'animation du patrimoine, du patrimoine, de la culture... ou préparent les concours de la fonction publique pour devenir bibliothécaire, assistant de conservation du patrimoine, chargé d'études documentaires, secrétaire de mairie, de métiers le plus souvent après un bac + 5 animateur/trice de l'architecture et du patrimoine ; antiquaire ; archéologue ; chef/fer de projet culturel ; directeur/trice de musée ; galeriste ; guide conférencier/ère ; technicien/ne de fouilles. Les attendus Parcoursup Attendus nationaux de la plateforme d'inscription dans l'enseignement supérieur ParcoursupOutre la diversité des formations de 1er cycle, et les spécificités qu'y apporte chaque établissement, des éléments de cadrage national ont été définis avec le concours de l'ensemble des acteurs de l'enseignement supérieur pour informer les candidats et leurs est attendu des candidats en licence Mention HISTOIRE DE L'ART ET ARCHEOLOGIE Savoir mobiliser des compétences en matière d'expression écrite et orale afin de pouvoir argumenter un raisonnementCette mention suppose en effet des qualités dans la compréhension fine de textes de toute nature et de solides capacités d'expression, à l'écrit comme à l'oral, afin de pouvoir analyser, argumenter, construire un raisonnement, synthétiser, produire et traiter des contenus d'un bon niveau dans au moins une langue étrangère niveau BCette mention comporte obligatoirement des enseignements de langues vivantes ; la maîtrise d'au moins une langue au niveau baccalauréat est donc intéressé par la démarche scientifique Cette mention en effet suppose la capacité à comprendre et produire des raisonnements logiques et argumentés à partir de données et de concepts issus de différentes preuve de curiosité intellectuelle et plus particulièrement pour les sciences humainesLa licence Histoire de l'art et archéologie est en effet en lien avec l'étude et la compréhension du phénomène humain, dans toute sa richesse, sa diversité et sa travailler de façon autonome et organiser son travailCet attendu marque l'importance, pour la formation, de la capacité du candidat à travailler de façon autonome. Comme beaucoup de formations universitaires, la formation en licence Histoire de l'art et archéologie laisse donc une place substantielle à l'organisation et au travail personnel. Avoir un intérêt pour l'art, l'archéologie, l'histoire et la cultureLa caractère interdisciplinaire de cette mention suppose en effet une curiosité pour les phénomènes artistiques, culturels et visuels dans une perspective historique. Les admissionsEn L1 admission via la procédure Parcoursup. Les bacheliers généraux sont L2 ou L3 admission sur dossier les étudiants ayant déjà effectué 2 années d'études supérieures, en particulier une classe prépa littéraire. Les poursuites d'étudesSelon les parcours de licence, les poursuites d'études sont de parcours animation du patrimoine ; archéologie ; histoire de l'art ; marché de l'art ; muséologie ; préparation aux concours d'entrée des écoles du patrimoine ou de la restauration...Avec une L2 deuxième année de licence validée poursuite en licence professionnelle 1 an d'étudesAvec une licence validée L3 poursuite en master 2 ans d'études, en écoles du patrimoine ou de la restauration École du Louvre, Institut national du patrimoine ; préparation des concours de la fonction publique bibliothécaire, assistant de conservation du patrimoine, chargé d'études documentaires, secrétaire de mairie, etc.Pour en savoir plus sur les masters, voir le portail national des masters sur Où se former ? Vous pouvez saisir un critère géographique facultatif * Désolé, nous n'avons pas réussi à vous géolocaliser. Réessayez ultèrieurement. ou 24 résultats 24 établissements Affiner ma sélection Aucun résultat trouvé pour ». Pour une réponse personnalisée, vous pouvez contacter un conseiller du service de l'Onisep Mon orientation en ligne
. 285 194 121 158 190 407 333 481
cours du soir histoire de l art toulouse